Tu diras en ce jour-là :
Je te célèbre, SEIGNEUR :
tu as été en colère contre moi,
mais ta colère s’en est retournée,
tu m’as consolé.
2 C’est le Dieu de mon salut ;
j’ai confiance, rien ne m’effraie.
Car le SEIGNEUR (Yah), le SEIGNEUR (YHWH), est ma force et ma puissance,
il est mon salut.
3 Vous puiserez de l’eau gaiement
aux sources du salut.
4 En ce jour-là, vous direz :
Célébrez le SEIGNEUR, invoquez son nom,
faites connaître parmi les peuples ses hauts faits,
rappelez combien son nom est sublime !
5 Chantez le SEIGNEUR,
car il a fait des choses magnifiques.
Qu’elles soient connues par toute la terre !
6 Triomphe et pousse des cris de joie, habitante de Sion !
Car il est grand en ton sein, le Saint d’Israël !
Pardon (1)
Par son sacrifice, Jésus le Messie a conclu un traité de paix entre Dieu et les hommes (qui mettent leur foi en lui). Désormais, celui qui est ultra-saint, qui ne supporte pas le Péché, ne nous juge plus mais nous restaure.
Confiance (2-3)
Grâce à Jésus, nous pouvons considérer Dieu comme notre père. Mais attention, pas père fouettard quand dans les autres religions ! Père patient, nourricier, bienveillant, sauveur. Comment ne pas être joyeux et plein d’assurance quand on a un tel allié ?
Proclamation (4-6)
Comment ne pas parler du Seigneur, exprimer son bonheur quand on est conscient de l’immense privilège de lui appartenir à jamais ? Ce serait comme ne pas hurler après le but décisif de son équipe préférée ou encore bouder le jour de son mariage.
Ne pas parler de Jésus = ne pas avoir compris le sens de sa venue et de son Salut ?